Lever les barrières de l'impossible

L'image que j'aime bien prendre pour parler de mes coachings, c'est que vous vous en faites peut-être "une montagne". Par mon approche, je commence par couper cette montagne en deux pour vous montrer l'horizon. Ensuite, je taille les marches dans la roche pour vous. 


Ce qui est très clair, quand on se branche sur ses envies profondes, c'est que ça nous parait souvent impossible. 

J'aimerais changer de métier, mais je n'ose pas
J'aimerais écrire un livre
J'aimerais partir vivre en Australie

J'ai pu constater que plus on en a envie, plus ça bloque. Rater quelque chose qui ne nous tient pas vraiment à cœur n'est pas un problème. Il n'y a donc pas vraiment d'enjeu et on peut se lancer sans se poser de questions. 

Par contre, envisager d'échouer à son projet le plus intime, c'est moins facile. 

C'est parfois plus facile de ne pas essayer. 

A 17 ans, j'aurais voulu travailler dans le cinéma, devenir réalisateur. Mais je pensais que ce n'était pas possible.

Mon discours interne, c'était : 

Si c'était possible, tout le monde le ferait !

Depuis, quand je témoigne auprès d'un étudiant qui n'ose pas croire à son projet, je lui parle de mon parcours : maths sup, maths spé "étoile", une deuxième maths spé en changeant de lycée, puis 3 ans d'école d'ingénieurs à Brest, en Australie et à Londres... et je lui dis : "Si j'avais mis autant d'efforts, d'énergie et de temps au service de mon projet, aujourd'hui, je bosserais dans le cinéma !" 

Mais une chose est sûre : je me suis lancé dans maths sup sans me poser de questions, puisque ça n'avait pas d'importance pour moi. Certes, j'avais bien l'idée que je visais Centrale Paris, mais qu'est-ce que ça pouvait faire, puisqu'il n'y avait rien derrière. Il y avait bien l'idée de travailler dans le spatial quelques années avant, mais même ça, je n'étais plus tellement branché dessus sinon j'aurais ciblé Supaéro... pas Centrale. 

( Entre parenthèse, les classes prépas ne sont pas un bon exemple puisque c'est une énorme machine à renoncer à ses projets : en écrivant ces lignes je vois bien qu'il y avait un projet derrière : le rêve d'enfant d'aller sur la lune, de devenir astronaute... mais avec les classes prépas, c'est facile de renoncer. )

Moi, l'impossible, j'aime ça. C'est ce qui me met en action, en mouvement. 

Quand j'écoute quelqu'un qui me raconte à quel point ses projets sont impossibles, je trouve les leviers pour démarrer. Je trouve les actions immédiates, faciles à faire, qui vont prouver qu'on peut commencer !

Je ne dis pas que tout est possible. 
Je ne dis pas que tout le monde peut tout faire. 

Par contre, je pense que quand un projet nous tient très fort à cœur, c'est que c'est bien pour nous. C'est qu'intuitivement, nous savons que c'est ce que nous devrions faire de notre vie professionnelle. 

Dans ce cas, c'est une bonne idée de trouver un Coach qui saura nous aider à lever les freins, à passer à l'action, à avoir confiance en nous pour avancer.

Il ne s'agit pas d'un manque de volonté. 

Mais bien de la peur. La peur d'échouer. La peur d'y arriver aussi, parfois, avec les conséquences que ça peut avoir. 

Si vous souhaitez aller plus loin dans la discussion, vos remarques et commentaires sont les bienvenus !

Vous pouvez aussi me joindre au 06 33 85 53 27 pour prendre rendez-vous. 

Gabriel Brabant

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